Oui, pour travailler au Japon quelque soit le poste envisagé, un visa de travail est une nécessité absolue. Donc, si vous espérez trouver un employeur au Japon, il est prudent de demander le visa de travail avant même d’arriver dans le pays pour faciliter votre déménagement.
Tout simplement pour la bonne raison que vous ne pouvez légalement pas travailler au Japon sans visa de travail (ou un visa vous permettant de travailler ). Si une entreprise décide de vous embaucher quand même, il faudra qu’elle se dépêche de vous faire obtenir un visa pour légaliser votre situation. Cela étant, il est toujours préféable de se trouver au Japon pour postuler aux emploi et se rendre aux entretiens d’embauches. Essayez toujours, je connais des gens qui ont réussi !
Les visas de travail sont classés en différentes catégories, en fonction de domaines professionnels bien définis, chacun nécessitant une expérience et des qualifications spécifiques. En réalité, le Japon n’impose aucun quota légal sur le nombre de permis de séjour permanent, de permis de travail ou de naturalisations délivrés.
La raison pour laquelle les chiffres de l’immigration au Japon sont tellement bas c’est qu’en général, très peu d’étrangers choisissent d’y vivre. Ce document a pour but de certifier qu’une personne non japonaise remplit l’ensemble des conditions nécessaire à sa demande de visa et qu’elle est apte à vivre au Japon.
Ces visas sont entièrement gratuits et les demandes sont reçues et instruites avec bienveillance. Quels visas pour travailler au Japon ? Le gouvernement japonais va enfin assouplir les conditions de retour pour les étrangers ayant des visas de long et moyen séjour, comme celui d’étudiant, de travail et d’épouse, a rapporté la chaîne nationale NHK.
Selon cette dernière, la mesure va entrer en vigueur en septembre.
Types de permis de travail au Japon. Par contre le dossier comprend de nombreuses pièces justificatives qui peuvent prendre du temps à rassembler. Avec ce visa, vous pouvez vous rendre au Japon pour voyager et faire une découverte culturelle et touristique, tout en ayant le droit de travailler pour financer votre séjour. PVT Japon : comment obtenir le visa Vacances-Travail PVT est le sigle pour "Programme Vacances-Travail" qui est un visa spécifique conclu entre deux pays.
Il existe deux types de visa pour exercer un emploi au japon : le visa de travail (avec de nombreuses sous-catégories) et le visa « Working-Holiday «. La première étape pour obtenir un visa de travail est de posséder un contrat de travail avec une entreprise sur le sol japonais. Le COE est obligatoire et il est à noter que ce visa est indispensable même pour un contrat de moins de trois mois.
Les paramètres de ces visas ne sont pas encore entièrement définis, mais l’annonce originale suggérait que ces visas toucheraient industries, suivie d’une nouvelle annonce qui augmentait ce chiffre à 14. Pour un séjour inférieur à trois mois, les Français n’ont pas besoin de visa d’entrée au Japon. Ils obtiennent un titre de "visiteur temporaire", qui n’autorise pas l’exercice d’une activité rémunérée.
Le visa de Specified Skills au Japon. Un diplôme universitaire est souvent nécessaire pour travailler au Japon à plein temps.
Ce document donne la preuve que vous aurez les moyens nécessaires pour subvenir à vos besoins au Japon. Il faudra apporter votre carte de résident en plus de votre passeport car ils vont vous donner une nouvelle carte qui spécifie que vous êtes maintenant résidents avec un visa de travail. Le Japon accueille de plus en plus de touristes chaque année.
Ainsi, on passe du statut de visa de travail à celui de visa touristique et il faut avoir quitté le territoire japonais dans les mois (sauf si on retrouve un travail je suppose). Il est assez peu recommandé de jouer à rester plus longtemps que mois ou « d’oublier » de signaler son changement de statut au risque de se voir infliger une interdiction de territoire pour une durée de X années.
Au Japon aussi il s’est écoulé une trentaine d’années depuis que le gouvernement a entrepris d’alléger les restrictions à l’immigration, d’abord en ouvrant l’accès des visas à. Un visa peu connu du grand public En tant que Français, il existe plusieurs visas vous permettant de venir vivre au Japon que ce soit sur le moyen ou le long terme. Les plus connus sont certainement le visa travail et le visa étudiant.
Ce visa est le fruit d’un accord passé entre la France et le Japon. C’est un système d’échange.
Chaque année un nombre défini de Français peut obtenir un visa Vacances-travail pour le Japon et le même nombre de Japonais peut bénéficier du programme pour venir en France. Pour travailler au Japon, la voie d’accès classique consiste à disposer à l’avance d’un contrat d’embauche, que ce soit auprès d’une entreprise locale ou d’une filiale française installée sur place.
Ce contrat permet d’obtenir un certificat d’éligibilité auprès du bureau japonais de l’immigration, et qui donne lui-même droit à un visa de travail. Si vous utilisez un garant, vous devrez envoyer le relevé de cette personne plutôt que le vôtre.
Depuis le 1er juillet, les personnes arrivant de l’un des pays suivants sont autorisées à entrer en France sans restrictions : Australie, Canada, Corée du su Géorgie, Japon, Monténégro, Maroc, Nouvelle-Zélande, Rwanda, Serbie, Thaïlande, Tunisie, Uruguay. Dans les autres cas, et notamment pour les études ou le travail, il est nécessaire de soumettre une demande de visa en bonne et due forme ! Durée : entre mois ~ an.
Visa travail-vacances. Applicable aux personnes ayant moins de ans. Nécessite de faire une demande au consulat de votre pays. Le travail occupe une place prépondérante dans la vie de la majorité des japonais, en particulier des hommes.
Etape : Déterminer le type de visa qui vous correspond. Il existe plusieurs types de visa pour le Japon selon le motif du séjour (visite familiale, visite touristique ou privée…etc.).
Vous devez donc choisir le type de visa qui vous correspond avant de rassembler les documents requis pour votre demande de visa.
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